Quand j’étais enfant, on m’a dit qui je devais être et comment je devais me comporter. Ça sonne désuet, comme ces vielles images en noir et blanc.
Les portraits
L’après-guerre à Mostar (Bosnie-Herzégovine).
Vivre - rêver - dessiner - rêver - vivre - dessiner - rêver - vivre. C'est quoi la vraie vie, après tout ?
Porte d'entrée où se déforment l'espace et le temps, l'horizon des évènements se situe à l'entrée d'un trou noir. Le point de départ du voyage, depuis lequel on peut modifier le passé et envisager le futur autrement... L'instant où un nouveau départ est encore possible. Gare du Nord. Tout va très vite. Sauf ce train qui est déjà en train de disparaître...
Le plaisir anal et sa cohorte de fantasmes ont métamorphosé le parcours de vie d’Alix. Sa voix t’invite, te guide. As-tu déjà accueilli, pris, enserré l’autre en toi? Qui sait ce qui peut alors bouger au fond de soi ?
Today, it's gonna work suit les débuts du groupe de folk-punk edam edam. Le film est un montage de douze ans d'archives, de bordel chaotique et d'interviews réalisées par diverses personnes sur ces douze mêmes années. Ce qui lui vaut le titre de docu à sketchs.
L’amour, c’est un sentiment à la fois intime et universel. Ça se joue dans les relations, aux règles implicites. Sidonie, Amande, Roxane, Anaïs et Lenny se posent tour à tour dans une salle obscure pour nous raconter.
Sans vernis et sans fard, 5 personnes trans dévoilent comment elles ont du modifier leur réalité pour pouvoir survivre et, se faisant, aider leur·e·s adelphes.
Elles sont trois, Sylvie, Cindy et Iris. Chacune vit ou a vécu des situations peu reconnues, souvent stigmatisées et parfois même criminalisées. Aujourd’hui, leurs expériences personnelles les amènent à soutenir ou accompagner celles et ceux qui vivent des situations similaires aux leurs et donner de la voix à ces combats. A travers l’évolution de leur engagement, nous découvrons leurs parcours de travailleuse du sexe, de femme au parcours de rue ou de proche de détenu‑e‑s.
Des travailleureuses en séjour irrégulier passent un casting pour participer à un film sur le travail au noir. Ponctuées de mises en situations, les auditions brossent leur portrait collectif et sans concession. “Travailler dans le noir” met en lumière les conditions de travail des personnes sans-papier
Elles sont 6, elles viennent du Bénin, du Cameroun, du Congo et de la Guinée Conakry. Elles ont dû fuir leur lieux de vie pour différentes raisons, par différents chemins. Ces chemins se sont croisés en janvier 2019 au Maroc, à Rabat. Elles reprenaient leur souffle quelques mois, hébergées en urgence par l'ARCOM. C'est autour d'un thé qu'elles nous ont proposé de faire un film, elles voulaient que leurs voix soient entendues. Nous avons essayé de ne fournir qu'un support technique, sans nous immiscer dans le contenu. A la poursuite de leurs souvenirs, elles partagent les raisons qui les ont poussées à partir et leurs vies depuis. A travers leurs témoignages, se dessinent des voyages différents et des vies pour lesquelles elles se démènent.
"Maruzzella, Maruzzè'... t'hê miso dint'a ll'uocchie 'o mare"
Djamila et Gaëtan habitent à Angoulême. Ils ne sont pas d'ici, juste de passage. Ils discutent. Au fil du temps, les phrases se répondent et les murs, les encadrements de portes, les fenêtres, les miroirs, escalier, couloir, balcon...tous les éléments de la maison dans laquelle ils vivent s'agencent pour les laisser petit à petit se rencontrer, autant dans le visuel que dans le son.
La Grée, sur la ZAD de Notre-Dame-Des-Landes, pendant les expulsions du printemps 2018.
A travers ses photos, ses peintures, et ses sculptures, Pascale nous raconte son histoire. De son enfance à Oran à son quotidien à Pamiers, son témoignage évoque la guerre, l’immigration, le handicap, mais aussi la libération au travers de la pratique artistique.