Par l'horizon, un homme se raconte, lui et son monde.
Les courts-métrages
Cohl dessine un petit bonhomme, à l'allure clownesque, qui se déplace dans un univers surréaliste. La main de l'auteur donne naissance au personnage dès la première scène et tout au long du film, il apparaît et disparaît au gré de ses envies pour semer le trouble chez des spectateurs venus au théâtre. Il est capable de se transformer à partir d'une bulle, de métamorphoser sa tête en bilboquet, devient prisonnier d'une bouteille, en ressort… Et quand il est brisé en deux, c'est la main de l'auteur qui intervient pour le reconstituer.
La régularité est le goût de la médiocrité, l’harmonie est le goût du génie. En littérature comme en politique, l’ordre (l’harmonie) se concilie merveilleusement avec la liberté ; il en est même le résultat. Au reste, il faut bien se garder de confondre l’ordre avec la régularité. La régularité ne s’attache qu’à la forme extérieure ; l’ordre résulte du fond même des choses, de la disposition intelligente des éléments intimes d’un sujet.
Une chorégraphie du quotidien.
Nous voulons du chômage. Ils veulent nous écouter. Ils veulent que nous parlions. Ils veulent nous parler. Nous, nous, nous, nous voulons du chômage.
Julie cherche son super-pouvoir.
Le 25 avril 2015, L'association «M.A.D.E. in Bassens» et les habitant-e-s de la cité Bassens à Marseille inaugurent une plaque commémorative en hommage “ Aux Chibanniettes et Chibannis, Aux Señoras et Señores ” qui ont lutté pour des logements dignes.
Une œuvre animée en 3D qui tente d'illustrer l'art de l'architecture à travers un point de vue photographique où les sujets principaux sont des espaces déjà construits. Parfois de manière abstraite, parfois surréaliste.
Alors qu’elle découvre la photographie, une jeune fille brise son appareil par accident…
“Contre-attaque. L'espace public en question”, une marche qui nous mène à la rencontre des dispositifs de mobilier urbain, qui par leur présence, rendent impossible l'action de s'asseoir, “zoner”, “s'entretenir, dans l'espace public. La marche est conduite par Tristan Favre, habitué dans ses démarches à investir l'espace urbain et Cédric Bernadotte qui dans ses créations remet en question les limites entre espace public et espace privé.
Un pianiste envoûte avec sa musique tous ceux qui s'approchent de son instrument. D'abord agacés, ses voisins finissent par danser.
Expliquer la physique, le temps d'une pause café...
Le visage d'une femme qui porte un casque de moto en gros plan, dans une rue parisienne, de la musique, et un texte qui défile.
Un homme en tongs, short de bain, lunettes de soleil et serviette sur l'épaule, des ballons, des cabines téléphoniques et beaucoup de couleurs pour un voyage en Bretagne.
Le 7 mars 2015 à Marseille, des gouines, des meufs, des féministes, des trans, se donnent rendez-vous dans la rue à la nuit tombée...