Le personnage de Boum fait le choix de ne plus consommer d'énergie nucléaire. Une fois cette décision prise, il doit trouver des solutions pour s'éclairer et se chauffer. Mais la centrale nucléaire voisine est malade… Sans organisation collective, l'action individuelle trouve ses limites.
Les animations
La publicité est aujourd’hui omniprésente dans nos vies. Après neuf ans de barbouillage de panneaux dans l’espace public, le collectif des déboulonneurs de Lille tient enfin son procès. C’est l’occasion d’une mobilisation des militants antipubs pour mettre en lumière leur combat contre la marchandisation de la ville. Suivez-les pendant quatre mois, de la rue aux événements de soutien, jusqu’à l’intérieur du tribunal.
Une bergère et son chien se retrouvent confrontés à d’anciens esprits, annonciateurs du printemps et de la poursuite du cycle des saisons.
Un court métrage de Blu : une animation ambiguë peinte sur les murs publics. Fabriqué à Buenos Aires et à Baden (fantoche).
Une vidéo qui déroule un premier texte en voix off, et un second qui s’affiche à l’écran simultanément et à contre-courant du premier.
Deux critiques d’art amateurs se rencontrent dans une galerie et discutent avec passion des œuvres qu’ils voient, jusqu’à ce qu’ils trouvent enfin une œuvre sur laquelle ils peuvent être d’accord …
La mer s’empare du lit d'une personne, qui doit bientôt affronter une tempête.
Un documentariste s’attarde sur les fondements de la famille lorsque les équations sont défectueuses, lorsqu’une mère et une fille accidentées ne peuvent, par contrainte physique et morale, vivre une relation normale. Mais la réplique reste la même : “Dans un monde noir et blanc, même le brun est beau”.
Dans un monde coloré, tout va pour le mieux : un gros lapin se réveille et sort de sa tanière. Il respire à pleins poumons les essences du printemps et admire les papillons. Seulement, c’est sans compter la méchanceté de trois rongeurs (Frank, Rinky et Gamera) qui tuent plusieurs de ces papillons sous les yeux abasourdis du lapin. Celui-ci décide alors de se venger. Après une longue préparation de divers pièges, les trois mammifères vont respectivement se faire faucher par un tronc en balancement, se faire catapulter et finir en cerf-volant.
La ville d’Eutropie, tirée du livre ‘Les villes invisibles’, d’Italo Calvino, explore nos propres rêves et cauchemars urbains.
Il vient d’être mis à la porte de son boulot et le voilà bien désemparé de se retrouver ainsi au chômage. Mais sa déprime va être perturbée par d’étranges apparitions. Des philosophes (morts !) viennent lui remonter le moral… à leur façon.
L’absence de l’autre, le manque, les souvenirs parfois douloureux. Une parabole sur le chemin amoureux. D'après un poème de Paul Eluard “Air vif”.