La régularité est le goût de la médiocrité, l’harmonie est le goût du génie. En littérature comme en politique, l’ordre (l’harmonie) se concilie merveilleusement avec la liberté ; il en est même le résultat. Au reste, il faut bien se garder de confondre l’ordre avec la régularité. La régularité ne s’attache qu’à la forme extérieure ; l’ordre résulte du fond même des choses, de la disposition intelligente des éléments intimes d’un sujet.