
Après s'être fait voler, un épicier électrifie les produits de son étal. Les récidivistes vont en pâtir.
Après s'être fait voler, un épicier électrifie les produits de son étal. Les récidivistes vont en pâtir.
Djamila et Gaëtan habitent à Angoulême. Ils ne sont pas d'ici, juste de passage. Ils discutent. Au fil du temps, les phrases se répondent et les murs, les encadrements de portes, les fenêtres, les miroirs, escalier, couloir, balcon...tous les éléments de la maison dans laquelle ils vivent s'agencent pour les laisser petit à petit se rencontrer, autant dans le visuel que dans le son.
Un espace public transfiguré par une installation plastique et sonore…un corps qui l’habite de sa danse insensée et extatique…deux hommes qui vont pêcher les sons concrets pour les insuffler dans une construction musicale bousculant la perception auditive…de quoi effleurer les lignes de faille de notre quotidien.
La Grée, sur la ZAD de Notre-Dame-Des-Landes, pendant les expulsions du printemps 2018.
A Bruxelles, Paris, ou Londres, les coursiers sont de plus en plus nombreux à livrer des plats à domicile au profit de plateformes comme Deliveroo ou Uber Eats dans des conditions pourtant de plus en plus précaires et dangereuses. Depuis 2017, des collectifs et des syndicats se mobilisent pour défendre leurs droits et remettre en question le modèle que ces multinationales tentent d’imposer. Mais comment s’organiser face au capitalisme de plateforme ?
Le 18 octobre 2019 l’insurrection prend dans tout le Chili. En arpentant les rues il est peut être possible d’entrevoir ce que la lutte est venue bouleverser. La voix d’une habitante de la capitale fait écho à la rage, la dignité et la créativité qui se lisent sur les murs de Santiago.
Le 29 novembre 2015, 5000 personnes, refusant de laisser le sort de l’environnement aux seules mains des dragons industriels et de leurs alliés gouvernementaux, se rendent à République en début d’après-midi, malgré l’encadrement militarisé de la place. 317 d’entre elles se font arrêter et emmener dans différents commissariats.
« Huellas de la memoria » a été accueillie et organisée du 1er au 9 avril 2017 par le Collectif Paris-Ayotzinapa à Paris dans le cadre de la semaine « Mexique : entre disparitions et résistances » au DOC. Ce film s’empare de la force d’évocation de cette exposition pour faire ressentir le combat de ces familles parties à la recherche de leurs proches disparus.
Trois amis, sans le savoir, demandent successivement en mariage une femme nommée Grace Darling.
Dans le documentaire Briser le silence des amphis, des étudiantes, des doctorantes ou encore des membres du personnel témoignent des violences sexistes et sexuelles qu’elles ont subies au sein de l’université devant la caméra de la réalisatrice Lysa Heurtier Manzanares. Une des conséquences presque systématiques de ces violences est la réduction au silence, et par ce fait leur omission. Faire entendre ces récits c’est, au-delà de leur portée libératrice individuelle, œuvrer à compléter la part manquante de notre histoire collective. Ce documentaire apporte sa contribution à la lutte contre les violences sexistes et sexuelles dans l’enseignement supérieur et la recherche : écoutons celles qui prennent la parole et ne laissons pas le silence s’installer dans nos amphis !
A travers ses photos, ses peintures, et ses sculptures, Pascale nous raconte son histoire. De son enfance à Oran à son quotidien à Pamiers, son témoignage évoque la guerre, l’immigration, le handicap, mais aussi la libération au travers de la pratique artistique.
Quel(s) impact(s) sur notre lieu de vie, notre imagination, notre consommation et notre rapport aux autres ? Des membres du Carmen Média Social Club ont fait ce film sur les affichages publicitaires en ville. Ici, nous nous exprimons et nous questionnons.
Alors qu'il doit quitter les lieux, A. raconte comment il est arrivé là. Portrait d'un lieu de vie et de son habitant.
Quand une paire de mains rencontrent une paire de seins.
Un homme vit dans sa cabane au milieu des bois, entouré d’une quinzaine de chats. En marge du théâtre urbain, un conte sans prince charmant. Celle d’un homme fragile, droit dans ses bottes et qui respire bruyamment. Isolé, invisible, il s’obstine pourtant à se mettre à nu. Un apprenti Bouddha qui ne sort jamais sans son Quechua.
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