Today, it's gonna work suit les débuts du groupe de folk-punk edam edam. Le film est un montage de douze ans d'archives, de bordel chaotique et d'interviews réalisées par diverses personnes sur ces douze mêmes années. Ce qui lui vaut le titre de docu à sketchs.
Les portraits
L’amour, c’est un sentiment à la fois intime et universel. Ça se joue dans les relations, aux règles implicites. Sidonie, Amande, Roxane, Anaïs et Lenny se posent tour à tour dans une salle obscure pour nous raconter.
Sans vernis et sans fard, 5 personnes trans dévoilent comment elles ont du modifier leur réalité pour pouvoir survivre et, se faisant, aider leur·e·s adelphes.
Elles sont trois, Sylvie, Cindy et Iris. Chacune vit ou a vécu des situations peu reconnues, souvent stigmatisées et parfois même criminalisées. Aujourd’hui, leurs expériences personnelles les amènent à soutenir ou accompagner celles et ceux qui vivent des situations similaires aux leurs et donner de la voix à ces combats. A travers l’évolution de leur engagement, nous découvrons leurs parcours de travailleuse du sexe, de femme au parcours de rue ou de proche de détenu‑e‑s.
Des travailleureuses en séjour irrégulier passent un casting pour participer à un film sur le travail au noir. Ponctuées de mises en situations, les auditions brossent leur portrait collectif et sans concession. “Travailler dans le noir” met en lumière les conditions de travail des personnes sans-papier
Elles sont 6, elles viennent du Bénin, du Cameroun, du Congo et de la Guinée Conakry. Elles ont dû fuir leur lieux de vie pour différentes raisons, par différents chemins. Ces chemins se sont croisés en janvier 2019 au Maroc, à Rabat. Elles reprenaient leur souffle quelques mois, hébergées en urgence par l'ARCOM. C'est autour d'un thé qu'elles nous ont proposé de faire un film, elles voulaient que leurs voix soient entendues. Nous avons essayé de ne fournir qu'un support technique, sans nous immiscer dans le contenu. A la poursuite de leurs souvenirs, elles partagent les raisons qui les ont poussées à partir et leurs vies depuis. A travers leurs témoignages, se dessinent des voyages différents et des vies pour lesquelles elles se démènent.
"Maruzzella, Maruzzè'... t'hê miso dint'a ll'uocchie 'o mare"
Djamila et Gaëtan habitent à Angoulême. Ils ne sont pas d'ici, juste de passage. Ils discutent. Au fil du temps, les phrases se répondent et les murs, les encadrements de portes, les fenêtres, les miroirs, escalier, couloir, balcon...tous les éléments de la maison dans laquelle ils vivent s'agencent pour les laisser petit à petit se rencontrer, autant dans le visuel que dans le son.
La Grée, sur la ZAD de Notre-Dame-Des-Landes, pendant les expulsions du printemps 2018.
A travers ses photos, ses peintures, et ses sculptures, Pascale nous raconte son histoire. De son enfance à Oran à son quotidien à Pamiers, son témoignage évoque la guerre, l’immigration, le handicap, mais aussi la libération au travers de la pratique artistique.
Alors qu'il doit quitter les lieux, A. raconte comment il est arrivé là. Portrait d'un lieu de vie et de son habitant.
Un homme vit dans sa cabane au milieu des bois, entouré d’une quinzaine de chats. En marge du théâtre urbain, un conte sans prince charmant. Celle d’un homme fragile, droit dans ses bottes et qui respire bruyamment. Isolé, invisible, il s’obstine pourtant à se mettre à nu. Un apprenti Bouddha qui ne sort jamais sans son Quechua.
Traces obtenues et capturées par les surfaces du scanner et du moniteur. Les autres surfaces sont le papier et le film. La lumière se reflète et passe à travers, les couches glissent et parfois se rencontrent, ponctuées par des sons vibrants et percussifs. Avec la participation de Samuel Elikem Kwame Nyamuame, docteur en ethnomusicologie et professeur adjoint invité en ethnomusicologie et danse, du départements de musique, de théâtre (danse) et d'études africaines.
Un atelier collectif féministe en mixité choisie en 2021. Qu’est-ce à dire ? C’est en cours de fabrication permanente ! Entailler une mortaise, souder un garde-corps ou une barre de pole dance, se prêter la main… Mais c’est aussi des personnes partageant un lieu en autogestion, qu’elles soient trans, meuf, gouine, cisfemme. Voyons ça en 18 minutes ! C’est un film documentaire réalisé par une partie d’entre nous grâce à l’accompagnement de la Télé Buissonnière.
Une femme raconte comment, alors qu'elle n'avait que 12 ans, elle tentait de défier sa mère en se tatouant elle-même.