Vivre - rêver - dessiner - rêver - vivre - dessiner - rêver - vivre. C'est quoi la vraie vie, après tout ?
Les films sous licence CC BY-NC-ND
Luc et Luc, deux jeunes gars peu dynamiques et encore moins motivés, tournent en rond au milieu de leur campagne. Rêvant d’échapper à un quotidien imposé par le monde du travail et de laisser derrière eux leurs soucis familiaux, les deux garçons chercheront une solution… Peu banale, de préférence.
Porte d'entrée où se déforment l'espace et le temps, l'horizon des évènements se situe à l'entrée d'un trou noir. Le point de départ du voyage, depuis lequel on peut modifier le passé et envisager le futur autrement... L'instant où un nouveau départ est encore possible. Gare du Nord. Tout va très vite. Sauf ce train qui est déjà en train de disparaître...
Le plaisir anal et sa cohorte de fantasmes ont métamorphosé le parcours de vie d’Alix. Sa voix t’invite, te guide. As-tu déjà accueilli, pris, enserré l’autre en toi? Qui sait ce qui peut alors bouger au fond de soi ?
"Le rose, le vernis, les robes, vous pensez que c'est seulement ça être une femme ? Je suis une femme, pourquoi je ne pourrais pas mettre un bleu de travail ? Il est temps d'évoluer et de changer les mentalités pour plus d'égalité."
Ce documentaire d'une vingtaine de minutes nous rappelle le cycle de vie de tous ces objets que l'on consomme au quotidien sans vraiment savoir d'où ils viennent et ou ils vont. Annie Léonard explique d'une façon ludique et sérieuse comment fonctionne l’économie globale matérialiste et ses conséquences sur l’économie, l’environnement et la santé.
Pour échapper à l'apocalypse, un homme se réfugie sous terre.
Elles sont trois, Sylvie, Cindy et Iris. Chacune vit ou a vécu des situations peu reconnues, souvent stigmatisées et parfois même criminalisées. Aujourd’hui, leurs expériences personnelles les amènent à soutenir ou accompagner celles et ceux qui vivent des situations similaires aux leurs et donner de la voix à ces combats. A travers l’évolution de leur engagement, nous découvrons leurs parcours de travailleuse du sexe, de femme au parcours de rue ou de proche de détenu‑e‑s.
Des travailleureuses en séjour irrégulier passent un casting pour participer à un film sur le travail au noir. Ponctuées de mises en situations, les auditions brossent leur portrait collectif et sans concession. “Travailler dans le noir” met en lumière les conditions de travail des personnes sans-papier
"Maruzzella, Maruzzè'... t'hê miso dint'a ll'uocchie 'o mare"
L'exemple du traitement politico/médiatique de l'évacuation du camps de migrant de Calais de 2016.
Une immersion d’un an dans les services sociaux de première ligne. Des services qui ont assuré un suivi humain quand toutes les portes des accès aux droits élémentaires se digitalisaient. Des travailleurs et travailleuses qui se sont fondés en collectif : « Travail social en lutte » pour dénoncer une dérive de leur métier, que les administrations veulent transformer en sous-traitants, aux mépris de leur mission d’accompagnement social.
Percutant et superbement réalisé, ce film d'animation questionne notre mode d'exploitation des énergies fossiles et des ressources naturelles, ses conséquences au niveau planétaire et l'impasse où nous mène notre modèle de croissance. Le film présente de manière très pédagogique pourquoi notre modèle dominant n'est plus soutenable, et pourquoi la décroissance s'impose aujourd'hui comme la seule alternative.
Djamila et Gaëtan habitent à Angoulême. Ils ne sont pas d'ici, juste de passage. Ils discutent. Au fil du temps, les phrases se répondent et les murs, les encadrements de portes, les fenêtres, les miroirs, escalier, couloir, balcon...tous les éléments de la maison dans laquelle ils vivent s'agencent pour les laisser petit à petit se rencontrer, autant dans le visuel que dans le son.
La Grée, sur la ZAD de Notre-Dame-Des-Landes, pendant les expulsions du printemps 2018.