Comment les chercheurs publient-ils leurs découvertes ?
Les films dès 11 ans
"Dans un monde noir et blanc, même le brun est beau". Boyle est fils de parents amérindiens qu’il n’a jamais connu, mais a nettement l’apparence d’un blanc ; il est né à même la forêt et travail aujourd’hui dans un industrie de pâte et papier.
St-Jeure-d'Ay, c'est un village ouvrier de 500 habitants du nord de l’Ardèche. Les bedos au cœur vert, un groupe de supporters de St-Etienne qui y est établi. Au travers des déplacements au stade et des temps de loisirs, ce film suit l’équipe des supporters des bedos. Il devient une chronique ouvrière et rurale d'un monde où les patrons ont bien travaillé...
Après 55 jours bien étranges, une sorte de délivrance. Une autre nouvelle nuit.
Après la nuit de Yoff, la rive de mer reprend sa chorégraphie. C’est l’envers qui s’offre à nous, et la lumière reprend ses droits sur la vie humaine pour redevenir ce qui raconte, veillant les pas des hommes sur la plage du monde.
Lorsque la lune est là, à la tombée de la nuit, la plage de Yoff (Dakar) prend vie. En une danse silencieuse, les ombres préparent les bateaux dans l’obscurité profonde. Où partent-ils, quelle nuit leur est-elle promise ?
Des squats, un espace autogéré, un quartier pirate, des terres occupées et leur centaine d’habitants dans une ville de taille moyenne en France. Une certaine envie de victoire.
Diallo est couturier. Il confectionne des vêtements pour les ambassadeurs installés au pays. Ses pensées l'emmènent parfois vers la France où il aimerait rendre visite à ses amis et à sa famille installés là-bas. Amadi rêve d'un ailleurs, d'un voyage qui l'emmènera hors des sentiers de Dakar. Tous deux naviguent entre deux zones. d'un coté, le rêve, l'imaginaire et la poésie du voyage. De l'autre les douanes, les visas, passeport et autres barbelés. Le beau, la magie, la vie, ne surgissent pas dans les cases ou autres lieux d'empêchement. Chaque frontière mérite d’être outrepassée, franchie.
Comment ça naît, un bidonville ? À Metz, le scénario est (à peu de choses près) toujours le même. Cinq générations de migrants se sont succédées, depuis 2012, dans la capitale mosellane, étape incontournable pour les demandeurs d’asile venus d’Europe de l’Est, déposés par les passeurs, attirés par le guichet unique où ils enregistrent leur première demande. Cinq saisons et le même camp se reforme inlassablement, toujours à peu près aux mêmes périodes de l’année, peu de temps après la trêve hivernale, quand les expulsions ne sont plus interdites, et toujours au même endroit, avenue Blida, où les autorités ont concédé un parking boueux en face d’un incinérateur pour que les femmes, hommes et enfants puissent poser leur tente. C'est là que nous vous emmenons, donc. D'un camp Blida à un autre. Du démantèlement de novembre 2016 à celui de novembre 2017.
Une souris se trouve une nouvelle maison, où une femme se bat avec son poids.
Une journée, dans une salle de cinéma. Neuf inconnu⋅e⋅s, cinq questions. Des vies, qu’on entend, qu’on survole. Qui essayent.
À l’ère de la transition énergétique pour la soi-disant croissance verte, RTE tente de s’approprier les terres de deux jeunes agriculteurs, à Saint-Victor dans le Sud-Aveyron, pour implanter un transformateur électrique de sept hectares. Ce transformateur redistribuerait sur le réseau international du commerce de l’énergie, la production de 1000 éoliennes en construction sur les crêtes de la région. Alors que la municipalité de Saint-Victor et la majorité des habitants sont contre le projet, les machines invasives de RTE et des promoteurs avancent, appuyées par les services de l’État. Au premier jour de l’hiver 2014, une cabane nommée l’Amassada se dresse sur les terres convoitées. Les rencontres, les liens, les résistances s’étendent et s’intensifient. Nous sommes au futur, voici les éléments qui se défendent aujourd’hui.
Une cellule attend.
Samantha vient d'une famille de huit générations d'ouvrières qui ont travaillé dans l'usine de métaux chimiques de Bussière sur Chambord. Il y a quelques années, le patron s'est barré avec son usine de merde qui polluait. Enfin l'occasion de faire autre chose ! Hommage critique et parodique au cinéma direct.
Un talentueux figurant - peut-être l’un des plus talentueux de l'histoire du cinéma - déplore la destruction de son métier par le développement inéluctable des foules de synthèse.